Six jours dans l’histoire contemporaine du nationalisme québécois

Description

À coups de retournements inattendus et de coups de théâtre spectaculaires, il arrive que l’histoire se cristallise en moins de 24 heures. En ces rares journées, de manière décisive, le cours des événements s’accélère, prend un tournant ou subit un coup de frein. On dit alors qu’il y a un avant et un après. L’histoire contemporaine du nationalisme québécois compte plusieurs de ces jours pivots.

Au cours de cette formation répartie en deux sessions, nous en revisiterons six. À l’affiche pour la session d’hiver 2025 : le 17 mars 1955 (émeute du Forum), le 24 juillet 1967 (« Vive le Québec libre » de Charles de Gaulle) et le 24 juin 1968 (émeute de la Saint-Jean). Suivront à l’automne 2025 : le 15 novembre 1976 (première élection du Parti québécois), le 4 novembre 1981 (ladite nuit des longs couteaux) et le 22 juin 1990 (mort de l’Accord du Lac Meech).

Luc Cyr

Luc Cyr est originaire de New Richmond en Gaspésie. Sociologue de formation, il a été chargé de cours à l’Université Laval, reporter et correspondant parlementaire à Télé-Québec, producteur, réalisateur et scénariste pour AD HOC FILMS (une maison de production spécialisée dans le film documentaire qu’il a créée avec son ami et collègue Carl Leblanc). Au tournant du nouveau millénaire, il a tourné et réalisé une dizaine de films documentaires consacrés au thème abordé dans l’activité de formation qu’il donnera à l’hiver et l’automne 2025

Luc Cyr devant la statue de Maurice Richard, meilleur joueur de hockey de son époque et première figure du nationalisme québécois ... malgré lui.
  • Mode : à distance sur Zoom
  • Début : lundi 17 mars 2025 à 13 h 30
  • Durée : 3 semaines à raison de 2 h par semaine
  • Participation : pas de limite sur Zoom
  • Lieu : -
  • Coût : 50 $ membres; 60 $ non membres

Photos thématiques

Admirateurs de Maurice Richard manifestant joyeusement avant que les choses ne dégénèrent en émeute.
Le président français Charles de Gaulle, quelques instants après avoir lancé son fracassant « Vive le Québec libre » du haut du balcon de l’hôtel de ville de Montréal.
Le premier ministre du Canada, Pierre Elliot Trudeau, quelques instants avant d’être la cible d’une pluie de pierres lancées par des manifestants.