Particularités de la vie familiale dans une station de phare
Description
Le métier de gardien de phare n’existe plus au Québec depuis 1988 mais les phares sont toujours là pour nous rappeler qu’une longue histoire s’y rattache. On peut continuer à s’intéresser aux phares pour plusieurs raisons, par exemple l’architecture, la localisation, les accidents maritimes, le développement technologique. La présentation fera plutôt ressortir les particularités de la vie familiale dans une station de phare, avant la modernisation des années 1960. Un accent important sera mis sur les conditions, comme l’isolement, la règlementation du métier et sa dangerosité, les particularités de l’environnement. Le présentateur s’inspirera de son expérience au phare de l’île Verte dans les années 1950, soit avant une modernisation qui s’enclencha dans les années suivantes.
Jocelyn Lindsay
Jocelyn Lindsay est fils de gardien de phare et sa famille a été pendant quatre générations à la garde du phare de l’île Verte (1827-1964). Il a passé son enfance sur cette île et a étudié à Rivière-du-Loup et à Rimouski. Il a œuvré comme travailleur social à Rimouski et à Montréal, avant de faire carrière pendant 35 ans en enseignement du travail social à l’Université Laval. Père de deux fils et grand-père à trois reprises, il habite Québec.
- Mode : en présence à Rimouski et simultanément à distance sur Zoom
- Date : vendredi 4 avril 2025 à 13 h 30
- Durée : 2 h
- Participation : 20 personnes maximum en présence et pas de limite sur Zoom
- Lieu : UQAR, campus de Rimouski, local E-405 (300, allée des Ursulines)
- Coût : activité gratuite réservée aux membres de l'ADAUQAR
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